DES SORTES DE FEMMES A RECOURU À PARLES CITOYENS ET D'AMIS ET MESSAGERS

QUAND Kama est pratiqué par les hommes des quatre castes selon les règles{*autorités*} du Mandat Saint (c'est-à-dire par le mariage légal) avec les vierges de leur caste propre, cela devient alors le moyen d'acquérir la progéniture légale et la bonne gloire et il n'est pas aussi opposé à la douane du monde. Au contraire la pratique de Kama avec les femmes des castes plus hautes et avec ceux précédemment aimés par d'autres, bien qu'ils être de la même caste, est interdite. Mais la pratique de Kama avec les femmes des castes inférieures, avec des femmes a excommunié de leur caste propre, avec des femmes publiques et avec des femmes s'est deux fois marié, [28] est ni imposé, ni interdit. L'objet de pratiquer Kama avec de telles femmes est le plaisir seulement.
Nayikas, [29] donc, ont de trois sortes, viz. des demoiselles, les femmes se sont deux fois mariées et des femmes publiques. Gonikaputra a exprimé un avis qu'il y a une quatrième sorte de Nayika, viz. une femme que l'on recourt à sur une certaine occasion spéciale bien qu'à elle être précédemment marié vers un autre. Ces occasions spéciales sont quand un homme pense ainsi :
Cette femme est entêtée et a précédemment aimé par plusieurs d'autres en plus de moi. Je peux, donc, sans risque lui recourir quant à une femme publique quoiqu'elle appartienne à une caste plus haute que le mien et, ainsi, je ne violerai pas les ordonnances de Dharma