Femmes comme les Patronnes de Culture

Les reines, des abbesses et des veuves ont fonctionné comme les patronnes de culture. McCash déclare que puisque le soutien pour des femmes a été sanctionné, il a fourni "des occasions riches pour des femmes pour faire leurs voix entendues" (McCash, 1). Eléonore de l'Aquitaine elle-même a donné pouvoir à l'art dans la Grande Abbaye de Fountevrault. Ses filles ont promu la littérature et la culture partout l'Europe. Marie du Champagne était la patronne de Chretien de Troyes qui a créé certains des grands romans Arthurian; sa soeur Mathilda de la Saxe a donné pouvoir aux romans et a présenté la poésie courtoise dans son mari Henry le cercle du Lion; leur soeur Leonor et son mari Alfonso de Castile ont accueilli des troubadours et des ménestrels. La période des croisades a donné aux femmes les ressources économiques de promouvoir des activités culturelles. Beaucoup d'autres femmes royales et nobles ont soutenu la reproduction et la dissémination de livres. Eléonore de Castile (d 1290), une Reine d'Angleterre, a inclus un scriptor dans ses appartements royaux qui ont employé tant auteur qu'un illustrateur pour créer des livres sur les vies du saint's, Psalters, aussi bien que les livres de roman.
Des veuves riches dont les maris sont morts sur la croisade des objets d'art souvent donnés pouvoir après élevant des enfants. Les exemples incluent Agnès, la comtesse de Barre{*Bar*}, qui était Eléonore de la belle-soeur de l'Aquitaine quoique son mariage à Robert, le frère du roi de la France. Entre 1188 et 1204 Agnès a donné de grands cadeaux à une église à Braine, obtenant même le verre de l'Angleterre, avec l'aide d'Eléonore, pour des verrières. Agnès s'est assurée que les artistes des thèmes de féministe dépeints. Les sujets dans les fenêtres incluent Jesse Tree, un symbole souvent utilisé par des femmes et les personnifications féminines des arts libéraux. Malgré des restrictions de genre, McCash des états, "le modèle de soutien culturel féminin fournit une conscience en croissance de valeur valante et intrinsèque de femme à la société" (McCash, 33).